Harduin De Combescamp

homme politique janakaan, né le 7 janvier 1947 à Pervelian (Blusdes)

Issu d'une vieille famille noble blusdoise, il fit des études de droit à Algébran. Reçu au barreau d'Algébran dès 1971, il se dinstingua en 1973 dans la défense des grévistes de la Permastand. Excellent plaideur, il fut vite remarqué par les médias et par le PSJ alors à la recherche de personnalités populaires. Elu régional d'Algébran en 1976, il tenta sa chance aux légilsatives de 1978, mais fut largement battu.

En 1981, il échoua aux municipales à Blusdes, mais fut élu député en 1982 à Blusdes suite à une élection partielle. Réélu en 1983, il fut battu en 1988. Ceci aurait dû mettre fin à sa carrière politique, mais il avait acquis une certaine importance au sein du PSJ comme secrétaire général adjoint et pour sa popularité auprès des milieux artistiques.

En 1991, il entre pour la première fois dans un gouvernement en temps que ministre délégué à la Justice. C'est lui qui déclanchera les poursuites dans l'affaire Kerova, ce qui lui vaudra une popularité record et une solide réputation d'honnêteté, mais aussi l'antipathie d'une bonne partie des dirigeants du PSJ, laquelle se manifestera notamment par son échec à l'élection du Premier Secrétaire en 1996.

Battu comme candidat indépendant à Blusdes en 1996, il entre dans l'enseignement et enseigne notamment le droit international à Cendremarc. En 1999, au Congrès d'Yrnais, il soutient la motion Flenchart et participera à la création du P.D.R.S.

En 2015, il participe aux négociations de la plateforme de l'Alliance de Gauche pour les législatives de 2016. Cornélius Albert refuse sa nomination comme ministre délégué aux Affaires Etrangères, mais lui offre la direction de l'Institut de Géopolitique qu'il accepte. En 2019, Yves Cancelier lui offre le Scrétarait d'Etat aux Affaires Etrangères.

Rapidement débordé sur des sujets qu'il connaît assez mal, il cherche à prendre le contrepieds de la politique de son prédécesseur, sans succès autre que quelques impairs (notamment par le lachage des Travaillistes et ses commentaires à la suite des référendum en Harvéna) qui lui attirent rapidement l'hostilité du Grand-Duc et le mépris du personnel de son ministère.

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